Eve de Balzac. D'après des documents inédits.
A Paris, chez l'éditeur [l'auteur], 1926. In-8 broché de 70 pages, couverture décorée. Petit manques en tête (réparation au scotch) et en queue, ainsi que tout le bord inférieur du second plat - en l'état. Illutré de figures in-texte et hors-textes en noir.
Tirage limité à 460 exemplaires, le nôtre un des 385 numérotés sur pur fil Lafuma (84).
La robe de bure.
Les Allusifs, 2005. In-12 broché, couverture à rabats. A l'état de neuf.
«Gabriella, sept ans, croupit dans un préventorium pour miséreux. La guerre s'achève, mais la mort de sa mère la condamne à l'errance auprès de son père marginal, dans les alpages du Nord de l'Italie. De refuges en fermes où l'on dort parfois avec les bêtes, à même la paille, Gabriella est si pauvre qu'on lui reproche d'avoir faim ; et elle traverse esseulée, à la fois ingénue et sagace, la multitude ambiguë des êtres et des choses.»
Une demi-douzaine d'elles - Ugoline Saine 6.
L'Association, 2008. In-8 broché, couverture illustrée. A l'état de neuf.
Il était un piano noir. . . Mémoires interrompus.
Fayard, 1998. In-8 broché, couverture imprimée. Bande de lancement conservée.
"Un soir de 1993, au Châtelet, mon coeur, trop lourd de tant l'émotion, a brusquement battu trop vite et trop fort, et, durant l'interminable espace de quelques secondes où personne, j'en suis sûre, ne s'est aperçu de rien, mon corps a refusé d'obéir à un cerveau qui, d'ailleurs, ne commandait plus rien. J'ai gardé, rivée en moi, cette panique fulgurante pendant laquelle je suis restée figée, affolée, perdue. J'ai dû interrompre le spectacle pendant quelque temps, puis définitivement... Durant deux ans, j'ai fait le deuil d'une partie de ma vie qui venait brusquement de se terminer. Écrire, aujourd'hui, est un moyen de continuer le dialogue."
La femme qui fuit.
Montréal, Editions Marchand de feuilles, 2015. In-8 broché, couverture illustrée. A l'état de neuf.
Prix des libraires du Québec 2016.
L'élégance du hérisson.
Gallimard, collection blanche, 2007. In-8 broché, couverture imprimée en deux tons. Très léger pli de lecture au dos.
«"Je m'appelle Renée, j'ai cinquante-quatre ans et je suis la concierge du 7 rue de Grenelle, un immeuble bourgeois. Je suis veuve, petite, laide, grassouillette, j'ai des oignons aux pieds et, à en croire certains matins auto-incommodants, une haleine de mammouth. Mais surtout, je suis si conforme à l'image que l'on se fait des concierges qu'il ne viendrait à l'idée de personne que je suis plus lettrée que tous ces riches suffisants. Je m'appelle Paloma, j'ai douze ans, j'habite au 7 rue de Grenelle dans un appartement de riches. Mais depuis très longtemps, je sais que la destination finale, c'est le bocal à poissons, la vacuité et l'ineptie de l'existence adulte. Comment est-ce que je le sais? Il se trouve que je suis très intelligente. Exceptionnellement intelligente, même. C'est pour ça que j'ai pris ma décision : à la fin de cette année scolaire, le jour de mes treize ans, je me suiciderai. "»
Une rose seule.
Actes Sud, 2020. In-8 broché, couverture couleurs. A l'état de neuf.
«Rose arrive au Japon pour la première fois. Son père, qu'elle n'a jamais connu, est mort en laissant une lettre à son intention, et l'idée lui semble assez improbable pour qu'elle entreprenne, à l'appel d'un notaire, un si lointain voyage. Accueillie à Kyoto, elle est conduite dans la demeure de celui qui fut, lui dit-on, un marchand d'art contemporain. Et dans cette proximité soudaine avec un passé confisqué, la jeune femme ressent tout d'abord amertume et colère. Mais Kyoto l'apprivoise et, chaque jour, guidée par Paul, l'assistant de son père, elle est invitée à découvrir une étrange cartographie, un itinéraire imaginé par le défunt, semé de temples et de jardins, d'émotions et de rencontres qui vont l'amener aux confins d'elle-même. Ce livre est celui de la métamorphose d'une femme placée au coeur du paysage des origines, dans un voyage qui l'emporte jusqu'à cet endroit unique où se produisent parfois les véritables histoires d'amour.»
Le palais de sucre.
Delémont, Editions D'autre part, 2003. In-8 broché, couverture illustrée. Epuisé.
«Nous sommes en février. Le mois que je déteste le plus, parce que j'ai le pressentiment que le printemps ne reviendra jamais plus. L'herbe est brunâtre et emmêlée, comme les cheveux rares d'un vieillard mourant, et les arbres semblent définitivement morts. Et les oiseaux se taisent comme s'il n'y avait plus rien à dire. Je suis sortie une dernière fois, juste avant la nuit, avant les médicaments du soir, il devait être quatre heures. J'ai peur des baignoires mais j'aime l'eau, alors je me suis dirigée vers l'étang. L'herbe craquait sous mes pas. Dans un ultime rayon de soleil froid, j'ai aperçu comme un reflet à la surface.»
Le portrait de Madame Mélo et autres nouvelles.
Genève, Editons d'autre part, 2004. In-12 broché, couverture photographique.
«Ensuite, j'ai marché lentement sur le trottoir en direction du pont, en balançant mon sac à main à bout de bras. Le musée était ouvert, je voyais des gens entrer et sortir. J'avais mis une robe à fleurs, dix francs chez Caritas. Il est arrivé à pied. Il avait sa chemise à carreaux et un sac plastique roulé dans la main. Il marchait la tête basse, de façon un peu saccadée, sans rien regarder autour de lui. Quand il m'a vue, il a levé le bras en signe de reconnaissance et je me suis avancée toute pimpante jusqu'à lui. “Tu vas voir ce que tu vas voir, Betty“, il m'a dit.»
Les petits arrangements.
Delémont, Edition d'autre part, 2007. In-8 broché de 197-[5] pages, couverture photographique. En belle condition.
Or donc, un jour, Ulysse apprend à sa Pénélope qu'il va devoir s'absenter pour un voyage, un séminaire, une formation, bref quelque chose d'essentiel pour sa carrière atypique et laborieuse. Il choisit son moment pour le dire, un moment où elle va bien, où elle lui est légèrement redevable de quelque chose…
Petite dépression centrée sur le jardin.
Delémont, Editions D'autre part, 2000. In-12 broché, couverture illustrée. Epuisé.
"47 petits textes doux-amers, introduits par des citations d'auteurs aussi divers que Colette, Roland Barthes ou Henri Laborit. 47 petits poèmes en prose qui disent le quotidien et les émotions d'une mère, d'une femme, d'une fille, d'une amante. Des touches impressionnistes subtiles, voyage entre l'intimité et les émotions de l'auteur, miroir de son jardin, et la réalité extérieure avec des rencontres tendres, mélancoliques ou joyeuses. A déguster lentement, comme des friandises offertes dans du papier irisé."
Petite dépression centrée sur le jardin.
Delémont, Editions D'autre part, 2003. In-12 broché, couverture illustrée.
"47 petits textes doux-amers, introduits par des citations d'auteurs aussi divers que Colette, Roland Barthes ou Henri Laborit. 47 petits poèmes en prose qui disent le quotidien et les émotions d'une mère, d'une femme, d'une fille, d'une amante. Des touches impressionnistes subtiles, voyage entre l'intimité et les émotions de l'auteur, miroir de son jardin, et la réalité extérieure avec des rencontres tendres, mélancoliques ou joyeuses. A déguster lentement, comme des friandises offertes dans du papier irisé."
Poussières du Sahara.
Lausanne, Favre, collection Chroniques, 2022. In-8 broché, couverture illustrée.
« Quelque chose a changé. Je me sens comme une maison dans laquelle quelqu'un serait entré en mon absence. Mes préoccupations sont à la même place, certes, mais pas tout à fait. Par exemple, je ne me demande plus ce que je vais faire demain, mais qu'est-ce qui va me tomber sur la tête demain. Le fait est que nous avons tous changé. Nous sommes aux aguets. Pandémie, guerre, climat, les mauvaises nouvelles se succèdent, et tous nous nous demandons : qu'est-ce qui va encore nous tomber sur la tête ? Alors, nous essayons d'anticiper en faisant des réserves, en protégeant ceux que nous aimons. En même temps, quelque chose est en train de naître tout autour. Et je commence à voir, dans ce ciel bleu acier, de légères et sporadiques vapeurs, des vapeurs de désobéissance... Et la désobéissance, cela peut être une façon subtile de reprendre le contrôle quand on ne maîtrise plus rien. La désobéissance est salutaire, car elle crée le désordre dans une maison bien rangée. Et c'est dans le désordre qu'on retrouve des choses oubliées, des valeurs qu'on croyait perdues. Cette désobéissance peut prendre diverses formes. Voici la mienne, elle est poétique. Quelle est la vôtre... ? »
Eros en Helvétie.
Vevey, Editions Bertil Galland, Collection Jaune Soufre, 1981. In-8 broché, couverture imprimée. Très léger pli de lecture au dos, pour le reste en belle condition.
Femmes, corps et âmes. Témoignages.
Genève, Editions Zoé, 1997. In-8 broché, couverture illustrée. A l'état de neuf.
"L'amour à 16 ans, à 30 ans, à 60 ans... Dans l'extase ou dans la terreur, avec ou sans contraception. Souvent sans pouvoir se confier. Quelque chose a-t-il changé dans la vie des femmes au cours de ce siècle ? Trente-huit femmes de Suisse romande, âgées de 19 à 80 ans, ont accepté de raconter comment cela s'est passé pour elles. Déprimées ou sereines, toujours émouvantes, elles livrent ici leur vécu intime et singulier. Aucune de ces histoires ne ressemble à une autre, pourtant, dans leur ensemble, elles forment une saisissante chronique de l'époque. On assiste ainsi à la généralisation d'une contraception fiable, à la disparition de l'avortement clandestin, à la transformation des premières relations sexuelles, à l'angoissante irruption du sida dans la vie des couples. Plus subtilement, ces récits permettent aussi de déchiffrer les changements profonds survenus dans la manière dont les femmes elles-mêmes perçoivent leur corps, leur fertilité et, bien sûr, leurs amours."
Une histoire politique du pantalon.
Seuil, 2010. In-8 broché, couverture photographique. Etiquette de prix au second plat, pour le reste en belle condition. Illustrations in et hors-texte, en noir et en couleurs.
"Successeur de la culotte, le pantalon symbolise la masculinité et, partant, le pouvoir, comme en témoigne l'expression " porter la culotte ". Au cours de la Révolution, il se charge d'une signification plus précise en exprimant les valeurs républicaines et devient un élément-clé du nouvel ordre politique. Mais l'Ancien Régime continue pour les femmes, qui n'accèdent pas, sur le plan vestimentaire (non plus que social), à la liberté et à l'égalité. Enfermées dans une altérité dite " féminine ", les femmes, privées de droits, assignées à résidence dans leur genre, sont interdites de pantalon. Rien de tel qu'un interdit pour susciter le désir... Surchargé de fantasmes, le pantalon accompagne toutes les transgressions qui jalonnent la route de l'émancipation des femmes. Artistes, féministes, révolutionnaires, voyageuses, actrices, lesbiennes, sportives, innombrables sont celles, connues et inconnues, qui s'approprient l'habit masculin. Il faut attendre les années 1960-1970 - séquence politico-vestimentaire décisive - pour que le pantalon soit féminisé, pour qu'il devienne un vêtement mixte. Fin de l'histoire ? Pas vraiment. Pourquoi l'ordonnance de 1800 interdisant aux femmes de s'habiller en homme n'est-elle toujours pas abrogée ? Pourquoi les collégiennes ne portent-elles plus que des pantalons ? Pourquoi une " journée de la jupe " ? L'actualité des questions de sexe et de genre gagne à être située dans l'histoire longue de la peur de la confusion des rôles et de la contestation du pouvoir masculin."
L'Everest au plafond.
Le Serpent à plumes, 2006. In-8 broché, couverture couleurs. Epuisé et ici à l'état de neuf.
«A Digne, en 1950, Marilène a vingt ans. Serveuse au troquet du coin, elle vit seule dans son petit appartement. Elle imagine un ailleurs, elle rêve, se fixe un but, improbable et extrême: gravir le mont Everest, le plus haut sommet du monde. Jusqu'où la mènera sa soif d'inaccessible?»
Un amour à l'aube. Amedeo Modigliani - Anna Akhmatova.
Grasset, 2014. In-8 broché, couverture imprimée en deux tons, jaquette. Exemplaire agrémenté d'un bref envoi autographe signé de l'auteure.
"Parce qu'une statuette signée Modigliani la trouble et qu'elle croit la reconnaître, Elisabeth Barillé se lance dans une quête fabuleuse. Ce visage énigmatique n'est-il pas celui de la poétesse Anna Akhmatova ? Quel lien unissait le sculpteur à la femme de lettres ? Au fil des voyages et des indices qu'elle cherche avec passion - lettres, poèmes, photographies, dessin au crayon d'Anna par Modigliani - l'auteur rend vie à leur rencontre, dans le Paris des grandes crues : 1910. Comment deux êtres aux destins si remarquables se sont-ils attirés et aimés, au début de leur vie d'artiste ? Anna, jeune mariée en voyage de noces, s'ennuie déjà de son époux et n'a qu'un rêve : devenir poète. Au même moment, Modigliani arrive d'Italie, il a 26 ans et a décidé de se consacrer corps et âme à la sculpture. Plus que la restitution d'un amour éphémère, c'est la résurrection de deux figures à l'aube de leur succès que nous offre Elisabeth Barillé. Deux voix s'aimant dans un français malhabile, deux artistes emplis de désir, de belle ambition. Et aussi deux "milieux" en plein essor : le Montparnasse des années 1900 et les poètes russes de "La Tour". "
Plat pour la 36e Course de l'Escalade.
Genève, 2013. Plat oblong au format 26 x 16 cm., décoré par l'illustratrice Adrienne Barman.
Remis aux participants de la 36e course de l'Escalade, à Genève en 2013.
Sonnets - Sonnets from the Portuguese. Traduction de Marguerite Bottinelli-Jérôme.
Bottinelli, 1958. In-12 broché, couverture rempliée, imprimée en deux tons. En belle condition, non coupé. Frontispice de Raymond Bottinelli.
Tirage total à 400 exemplaires, non numérotés.
Sonnets from the Portuguese.
London, The Folio Society, 1962. In-8, ravissante reliure en soie décorée, étui doré avec pièce de titre au dos. Infimes frottements à l'étui, pour le reste en très belle condition. Ornements par Reynolds Stone.
44 sonnets d'amour (en anglais), dans un bien bel écrin: un petit bijou !
Ce lien qui ne meurt jamais.
Albin Michel, 2007. In-8 broché, couverture imprimée en deux tons. A l'état de neuf, bande de lancement conservée.
"Aucun livre ne m'a autant coûté. Sa matrice est un journal intime que j'ai entrepris de tenir dès les premières semaines du deuil, après le suicide de notre fils Samuel, âgé de 24 ans... Au plus épais du brouillard qui avait alors avalé tous mes repères, il me semblait discerner quelques lucioles sur le sentier incertain que je suivais en funambule. Cinq ans plus tard, j'ai repris des éléments de ce document autobiographique en les rédigeant à la troisième personne, et en les accompagnant de méditations ou de réflexions formulées en "je". Déjà, j'avais commencé à aborder publiquement ces sujets demeurés largement tabous dans nos sociétés occidentales : la mort, le suicide, l'au-delà, notre rapport aux réalités invisibles... Et, chaque fois ces interventions suscitaient des confidences de la part de personnes bouleversées qui m'encourageaient à témoigner. Le chemin de vérité qui mène à une Vie plus forte que l'irréparable n'est pas l'apanage des croyants. Le clivage est ailleurs. Il dépend de l'orientation choisie : malgré ou à travers la mort de notre proche, désirons-nous ardemment aller vers ce qui vit ou décidons-nous d'étouffer ce désir en nous ? "
Histoires de bénichon à la pinte des Mossettes.
Cerniat / Fribourg, La Pinte des Mossettes / Gilles & Cricprint, 2005. In-8 broché, couverture illustrée sous pergamine assortie (pergamine jaunie en bords). Illustrations in-texte en noir, jolie maquette comportant des pages translucides, une grande composition en noir dépliante.
Au menu: La moutarde de Bénichon - La cuchaule - Le bouilli et le bouillon - Le ragoût d'agneau - Le fumé - Le coup du milieu - Le gigot d'agneau - Les fromages - La crème et les meringues - Les pâtisseries. Introuvable !
Vent mauvais.
Rue de Sèvres, 2020. Fort volume in-4, cartonnage couleurs. A l'état de neuf.
"Béranger est en crise, depuis son dernier succès au cinéma, il y a quinze ans, il est aussi peu inspiré dans son travail de scénariste que dans sa vie de divorcé, père de deux adolescentes Lison et Violette. Il peine à écrire la suite que lui réclame son agent et décide de quitter Paris ... pour s'installer à la campagne à côté d'un champ d'éoliennes face auxquelles il semble trouver l'inspiration. Sur place, il vit une idylle avec Marjolaine, une fille un peu décalée, la trentaine, qui conduit le bibliobus du village. Quand elle ne joue pas au scrabble, elle s'occupe de ses vieux parents, enterre les oiseaux morts et rêve d'ouvrir sa librairie. Alors que Béranger reprend goût à l'écriture, les saisons passent et apportent leurs lots de mauvaises nouvelles. Il glisse alors doucement vers la dépression. Marjolaine spectatrice malgré elle de la situation sera contre tout attente, celle sur laquelle ils pourront s'appuyer..."
Des familles, des secrets. Du côté d'où viendra le jour - La Roue d'infortune - L'Enfant du lendemain.
Omnibus, 2006. In-8 broché, couverture à rabats. Tout beau tout neuf.
«Voici des histoires de femmes écrasées par leurs familles et les silences qui les entourent, prisonnières de leur milieu c'est Armande dans Du côté d'où viendra le jour, âme solitaire d'un autre siècle, engluée dans une vie inutile et en quête d'un destin ; c'est Nellie, l'héroïne de La Roue d'infortune, mal mariée et embarquée dans une existence qui n'est pas la sienne ; ce sont les figures des quatre fulgurantes nouvelles de L'Enfant du lendemain, cherchant l'amour et sa pureté - source de leur grandeur et parfois de leur perte. Après Des maisons, des mystères, Des familles, des secrets confirme le talent de portraitiste de Germaine Beaumont (1890-1983), figure éminente de la littérature du XXe siècle, journaliste, romancière, traductrice, juré Femina, critique et éditrice de romans policiers, femme de radio, où son nom est attaché à la mythique émission Les Maîtres dit mystère.»