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[Confortès Claude] Gébé:

Le Marathon.

Affiche au format 60 x 76 cm. Très légèrement défraîchie, avec une petite déchirure sans manque.

Rare affiche (années 70)pour cette pièce qui fut, on le rappelle, traduite en 30 langues. Plusieurs dessinateurs en réalisèrent une affiche - il faut dire que Claude Confortès fut l'un des pionniers de l'adaptation de bandes dessinées au théâtre en portant à la scène Reiser et Wolinski.

[Confortès Claude] Pichard:

Le Marathon.

Affiche au format 57 x 78 cm. Très légèrement défraîchie, avec quelques petites déchirures sans manque.

Rare affiche (années 70)pour cette pièce qui fut, on le rappelle, traduite en 30 langues. Plusieurs dessinateurs en réalisèrent une affiche - il faut dire que Claude Confortès fut l'un des pionniers de l'adaptation de bandes dessinées au théâtre en portant à la scène Reiser et Wolinski.

[Confortès Claude] Pécub:

Le Marathon.

Affiche au format 67 x 50 cm. A été hélas mal roulée et comporte de ce fait de légers plis transversaux (voir image).

Ce défaut est compensé par le fait que l'affiche comporte la signature de Claude Confortès... Rare affiche (années 70)pour cette pièce qui fut, on le rappelle, traduite en 30 langues. Plusieurs dessinateurs en réalisèrent une affiche - il faut dire que Claude Confortès fut l'un des pionniers de l'adaptation de bandes dessinées au théâtre en portant à la scène Reiser et Wolinski.

[Confortès Claude] Willem:

Le Marathon.

Affiche au format 60 x 76 cm. Très légèrement défraîchie, avec une infime déchirure au bord inférieur.

Rare affiche (1974) pour cette pièce qui fut, on le rappelle, traduite en 30 langues. Plusieurs dessinateurs en réalisèrent une affiche - il faut dire que Claude Confortès fut l'un des pionniers de l'adaptation de bandes dessinées au théâtre en portant à la scène Reiser et Wolinski.

[Confortès Claude] Wolinski:

Le Marathon.

Affiche au format 54 x 75 cm. Très légèrement défraîchie.

Rare affiche (1973) pour cette pièce qui fut, on le rappelle, traduite en 30 langues. Plusieurs dessinateurs en réalisèrent une affiche - il faut dire que Claude Confortès fut l'un des pionniers de l'adaptation de bandes dessinées au théâtre en portant à la scène Reiser et Wolinski.

Courteline Georges:

Oeuvres de Georges Courteline, illustrées par Dignimont.

Flammarion, 1963. 2 forts volumes in-8, reliure pleine toile façon soie, décorée, rhodoïd. Toile un peu insolée. Illustrés de nombreuses compositions hors-texte en couleurs.

I: Les gaités de l'escadron - Les femmes d'amis - Le train de 8h47 - Lidoire - Boubouroche - Le peu des coups - La cinquantaine - le droit aux étrennes - Petin, Mouillarbourg et consorts - M. Badin - L'ami des lois - L'extra-lucide - Théodore cherche des allumettes - Gros chagrins - La voiture versée - Une évasion de Latude - Les boulingrin - Le gendarme est sans pitié. - II: Messieurs les ronds-de-cuir - Coco, Coco et Toto - Ah ! Jeunesse ! - Un client sérieux - Le commissaire est bon enfant - L'article 330 - Godefroy - Les balances - La paix chez soi - La conversion d'Alceste - Les fourneaux - La cruche - Les linottes - La philosophie de Georges Courteline. Un des 15'000 exemplaires numérotés.

Courtois Chantal:

Théâtre antique. Masques et figurines en terre cuite.

Genève, Musée d'Art et d'Histoire, collection Images, 1991. Plaquette in-8 brochée de 34 pages, couverture couleurs. 19 objets, tous décrits en fin de volume et représenté par une photographie en noir.

Cuneo Anne:

Rencontres avec Hamlet.

Bernard Campiche, collection Théâtre en camPoche, 2005. Fort volume in-12 broché (430 pages), couverture photographique. Tout beau tout neuf.

Contient: Naissance d'Hamlet - Ophélie des bas quartiers - Les enfants de Saxo - Benno Besson et Hamlet - Le fratricide puni (traduction inédite).

Cuneo Anne, Vullioud Anne-Lise (photographies):

Opération Shakespeare, une aventure. Livre/DVD, avec le film Opération Shakespeare à la Vallée de Joux.

Bernard Campiche, collection CampImages, 2006. Grand in-4, cartonnage titré sous jaquette photographique. Flambant neuf, bien complet du DVD inséré en fin de volume.

"Au départ, il y a Shakespeare. Et sa pièce Hamlet. Dans la quatre cent quatrième année après sa création à Londres, Anne Cuneo l'a utilisée comme base pour sa propre interprétation, Naissance d'Hamlet, une fantaisie. Où il est constamment question de comment la pièce fut écrite. Jusque-là, la Compagnie du Clédar avait toujours cherché, pour chacun de ses spectacles, le cadre approprié, le cadre idéal. Cette fois, elle ne s'est pas contentée de chercher un lieu et de le trouver : le Clédar a construit son propre théâtre. Les séjours à Londres pour visiter le Théâtre du Globe de Shakespeare font tout autant partie intégrante de la mise en scène que les vingt représentations à guichets fermés du Sentier. C'est là, à la Vallée de Joux, que le Clédar s'est construit son propre théâtre du Globe, son monde théâtral, son théâtre du monde - son monde. Ainsi, l'architecture fait partie de la mise en scène autant que de la représentation. Et la spirale continue à tourner : Anne Cuneo écrit le scénario d'un film sur la création de la pièce qu'elle a écrite. Elle réalise elle-même le film. Et voilà que la langue est devenue image. On pourrait aussi parler de dynamique de groupe. Car voilà la photographe Anne-Lise Vullioud qui, en photographiant la mise en scène, rend également compte de la naissance du film sur la mise en scène de la pièce d'Anne Cuneo. Nous avons une pièce, une mise en scène, des représentations, un espace, un film, des photos. Et maintenant nous avons un livre / DVD. Nous avons tout. Que vouloir de plus ?" Peter K. Wehrli, préface.

Cunéo Anne:

Entre lumière et ombres, Loyse de Savoie.

Le Cadratin, 2003. In-8 broché, couverture décorée à rabats.

"« Entre lumières et ombres: Loyse de Savoie », est une pièce de théâtre avec neuf personnages - trois femmes, six hommes - sur Loyse de Savoie, dame de Nozeroy, née en 1462 et morte à Orbe le 24 juillet 1503: une princesse devenue religieuse clarisse. Béatifiée par Grégoire XVI. Anne et Roger Cuneo ont réuni leurs talents pour écrire texte et chansons de cette évocation d’une princesse de la Renaissance. Loyse, fille de l’infortuné Amédée IX de Savoie et de Yolande, fille de Charles VII roi de France. Mariée à 17 ans à Hugues de Chalon, accueilli et élevé à la Cour de Savoie, Loyse se retrouve veuve et sans enfant, douze ans plus tard. C’est à ce moment que Anne Cuneo présente Loyse se réfugiant au couvent d’Orbe. Un soupirant, le Chevalier de Noiremaison, tente vainement de la voir avant ses vœux définitifs. Dans une vaste fresque, incluant danseurs, chanteurs et acrobates, Anne Cuneo met en scène le panorama culturel et scientifique de la Renaisssance." Tiré à 300 exemplaires, le nôtre marqué HC.

[Dahl Roald]:

Les deux gredins. Création du Théâtre Am Stram Gram.4

1994. Affiche au format 70 x 100 cm. Petite déchirure en bord, auréole au coin inférieur.

Daninos Pierre, Rocca Robert, Serrault Michel et al:

Un certain Monsieur Blot.

Philips, collection Théâtre pour vous, [1961]. Vinyle 33 tours / 25 cm., pochette illustrée. Disque et pochette en bon état.

Enregistrement public (public qui rit beaucoup, il faut le dire, et pour cause), au Théâtre Gramont. Michel Serrault est Monsieur blot, et notons la présence, entre bien d'autres, de Daniel Prevost, Pierre Roussel et Jean Yanne. Sympathique et peu courant.

Daumier Honoré:

Les gens du spectacle.

Trinckvel, 1993. Grand in-4, cartonnage titré or, jaquette - avec petit accroc en tête.

Avec une préface de François Perrier.

[Daumier Honoré] François Périer (préface), Jacqueline Armingeat (catalogue et notices):

Les gens du spectacle.

Editions Michèle Trinckvel, 1992.

Album de reproductions en noir, à pleine page.

Delor François, Rogg Lionel, Van der Heuvel Jan L.:

Le Victoria Hall. I: Son histoire architecturale - Son histoire musicale - Sa restauration - Ses orgues. II: Les orgues du Victoria Hall. 1894-1949-1993.

Ville de Genève, 1987 / 1993. Deux volumes in-8 brochés, couvertures décorées à rabats. Regroupés sous chemise titrée. En belle condition. Abondamment illustré (photographies, fac-similés, affiches. . .).

Tirés respectivement à 7000 et 3000 exemplaires. A noter que le premier volume est bilingue, français-anglais.

Deutsch Michel:

Imprécation dans l’abattoir. Coups de foudre.

L’Arche, 1991. Petit in-8 broché, couverture imprimée en deux tons. En belle condition.

"Non ! Tout n'est pas négociable si les anciens mensonges sont devenus les nouvelles vérités, il n'est que temps de les combattre. Le nouveau cours de la domination voudrait que la renonciation à l'idéal soit l'autre forme de la dédramatisation du social et de la vie ; que l'amnésie et la mise hors jeu de la réalité soient la condition du bonheur". Michel Deutsch.

[Devos] Guy Silva:

Quoi que dit Raymond Devos.

Messidor, 1988. In-8 broché, couverture décorée, très très légèrement défraîchie.

Illustrations par Doisneau et Raymond Moretti, témoignages de Maurice Béjart, Jacques Canetti, Yves Duteil, Robert Hossein, Marcel Marceau, Gilles Vigneault, . .

Devos Raymond, Vian Boris (postface):

Raymond Devos raconte... - J'en ris j'en pleure

Philips 432.215 BE, 1ère série. Vinyle 45 tours, pochette photo, défraîchie, nom de possesseur au dos. Le disque gratouille un peu mais jamais ne saute !

Au programme: La mer démontée, Le pied, Caen (irrésistible !), j'en ris j'en pleure. Enregistrement public à l'Alhambra, texte de Boris Vian au dos de la pochette.

Diderot Denis - Par Pierre Fresnay et Julien Bertheau:

Le Neveu de Rameau.

Adès, collection Ecrivains actuels, sans date. Disque vinyle 33 tours, pochette et disque en belle condition.

Extraits de l'adaptation à la scène de Pierre Fresnay et Jacques-Henri Duval. Enregistrement réalisé en séances publiques au Théâtre de la Michodière, où la pièce a été représentée pour la première fois le 4 février 1963.

[Dimitri] :

Album Dimitri.

Berne, Benteli, 1973. In-4 broché, couverture couleurs à grands rabats. Illustré d'innombrables photographies, dessins et documents en noir. Légers plis de lecture au dos.

Doret Gustave, Girard Pierre:

La Fête des vignerons 1927.

Lausanne-Neucâtel-Vevey / Paris, Foetisch / Rouart-Lerolle, 1927. In-folio broché, couverture décorée. Nom et inscription datée de 1927 à la plume au premier plat. Petit accroc en tête.

Le poème de Pierre Girard accompagné de la partition complète de la Fête de 1927.

Dubillard Roland:

Il ne faut pas boire son prochain. Fantaisie monstrueuse en quatre tableaux, sur une idée d’André Voisin.

Gallimard, collection Le manteau d’Arlequin, 1997. In-12 broché, couverture imprimée en deux tons. A l’état de neuf.

"Il ne faut pas boire son prochain a été écrit et joué en 1946, alors que Roland Dubillard avait été incorporé dans les troupes d'occupation en Autriche. Ce drame fut interdit par les officiers, irrités de voir leurs enfants quitter la salle en hurlant. Pourtant, Il ne faut pas boire son prochain est une pièce éminemment poétique où les mots ont le pouvoir de fabriquer du réel et où les personnages évoluent dans un univers insolite qui ne les surprend guère. Plus de cinquante ans après sa rédaction, cette oeuvre que l'on croyait disparue à jamais n'a perdu ni en fraîcheur ni en fantaisie. Elle offre au lecteur une image d'un Dubillard d'avant Naïves hirondelles. "

Dubillard Roland:

La maison d'os. Théâtre.

Gallimard, collection blanche, 1966. Petit in-8 broché, couverture à rabats. Infimes rousseurs à la couverture.

""Jeudi 6 mai. Il n'y a que Paris pour ces tragédies bourgeoises. Ces jours-ci est morte, une semaine après son mari, Mme X. La maison X., sans un capital bien connu, était une maison à chevaux, à voitures, à nombreux domestiques. La malade est morte dans son lit, sans avoir été complètement déshabillée, pendant cinq jours, par ses femmes faisant une noce d'enfer avec les domestiques dans le sous-sol ; et des sinapismes ayant été commandés par le médecin, c'est le cocher, complètement saoul, qui les lui a posés sur ses bas, oui, sur ses bas, qui n'avaient pas été retirés". Suggéré par ce passage du Journal des Goncourt (1880), le sujet de La Maison d'os est l'agonie d'un vieillard très riche, sans famille, entouré d'une quarantaine de domestiques pour qui la question n'est pas là. [.]Le sujet n'est pas plus macabre que celui de plusieurs oeuvres classiques. Il n'empêche pas La Maison d'os de s'orienter dans le sens de la vie, voire de la rigolade. L'auteur assure n'y avoir dissimulé aucune philosophie". Roland Dubillard.

Dubillard Roland:

Le jardin aux betteraves. Pièce en deux actes.

Gallimard, collection Le manteau d’Arlequin, 1997. In-12 broché, couverture imprimée en deux tons.

"Le quatuor inventé par l'auteur de Naïves Hirondelles se compose du premier violon Guillaume, du second violon Milton, d'un violoncelle Camoëns et d'Angélique, altiste. Tous quatre sont enfermés dans une maison de la culture en forme de boîte à violon... huis clos parcouru d'évocations musicales. Ces musiciens sont venus à la musique pour des raisons tout à fait farfelues et ils sont plutôt mal dans leur peau. Il est visible que la musique ne les a pas menés loin. Les voilà à trois cents kilomètres de tout lieu habité dans une maison de la culture bâtie dans un champ de betteraves. Ceci par dévotion à Beethoven sans doute puisqu'il y a un rapport étroit entre le nom du grand compositeur et celui de ces racines. Ils se disputent, ils échangent des propos amers, délirants, déments, cocasses, décousus et ils préparent mollement un concert Beethoven qui leur a été commandé par un M. Schwartz que l'on ne voit jamais. Survient un habitant de la contrée, Tirribuyenborg, au sabir savoureux, accompagné de tout un appareil de prise de son et d'une boîte de navigation. Sa jovialité s'oppose aux récriminations des quatre ménestrels, on découvre que la maison de la culture-boîte à violon est aussi un sous-marin, un train et un navire spatial. Tirribuyenborg est le pilote chargé de les conduire jusqu'au mystérieux M. Schwartz. A force de jouer Beethoven et d'en parler, l'un des musiciens, Guillaume, s'identifie au sourd génial et se retranche du monde dans le délire. Le voyage se poursuit follement jusqu'au fond des abysses; à ce moment le choc fait entrouvrir le couvercle du violon, le ciel apparaît, c'est la fin du voyage. Ionesco définit ainsi l'art de Dubillard : " J'essaie de connaître la science par laquelle Roland Dubillard fait éclore l'atroce de l'ennui, par laquelle il l'intensifie, le densifie, le cerne, le fait éclater. " C'est parce que rien ne se passe, que tout passe et que tant de choses se passent et que le tableau est complet de la dérision et du tragique."

Dubillard Roland:

« ... où boivent les vaches ». Tragi-comédie.

Gallimard, collection Le manteau d’Arlequin, 1997. In-12 broché, couverture imprimée en deux tons. Toutes petites marques au premier plat (voir image).